3.1. L'uniforme grégaire mène à l'indécence uniforme: avertissement
Je ne peux faire prévaloir la «décence commune» [29] chez ceux qui, quand d'autres pleurent de
honte, peuvent honorer leur femme en la regardant dans les yeux, après avoir déshonoré leur uniforme et leur pays (2ème partie) - saillie paradoxale du
mâle guerrier féminisé en esprit, qui associe cécité sociale et indifférence politique(2ème partie) au don de soi
domestique dans les deux sens du terme... Je veux néanmoins avertir le petit co' qui porte encore le casoar, avant qu'il se résigne comme ses aînés des forces spéciales, qui regardèrent des rebelles tuer au faciès des noirs sahéliens* dans
les rues de Libye.
*le rapport du MRAP, qu'on comparera avec la résolution 1973 de l'ONU
Hélie Denoix de Saint Marc: «de
toutes les vertus...
...la plus importante est le courage
d'être fidèle à ses rêves de jeunesse»
Par le dégoût puis le déni du dégoût*, de jobards galonnés dont il force un peu la main en les compromettant dans le
scandale, le Système s'assure le silence de gars qui voulaient être des héros [22]. Quand il n'a plus besoin d'eux, il les recycle parfois, en les accusant de ses crimes. C'est ainsi
qu'il se disculpe par diversion ou qu'il jette l'opprobre sur le patriote, quand la prochaine étape de la dissolution nationale dans l'Europe ou dans l'OTAN est à l'ordre du
jour...
* féminisation encore, puisque la fille violée se défend intérieurement en niant le viol
Paul Aussaresses, cloué au pilori à chaque
apparition
télévisée mais toujours obligeant: «c'est trop facile
de culpabiliser le pouvoir (...) C'est pas lui qui nous
a ordonné de faire ce que nous avons fait»
("Pièces à conviction", France-3, 27/6/2001)
Tenu par le sale boulot d'hier, Aussaresses
est resté en service commandé
Contrairement au gouvernement américain - au maître d'œuvre - le gouvernement français a ratifié le statut de la Cour Pénale Internationale. Si l'Empire trouve opportun de changer
d'alliance, comme il fit pendre Saddam Hussein après s'en être servi contre l'Iran (1980-1988), des pilotes d'avion seront sommés par cette cour de répondre de l'assassinat des civils libyens qu'on bombarda sous le
prétexte de les protéger... [30]
Le 24/8/2011, Maître Ceccaldi, avocat de
l'état Libyen, explique la stratégie de l'OTAN:
terroriser la population civile, afin qu'elle
cesse de soutenir son gouvernement
Un gouvernement de patriotes aura d'ailleurs à cœur de punir lui-même l'outrage fait à notre
Patrie, par des individus qui ne se comportent pas en soldats de la République mais en mercenaires[31]. Que l'officier militaire méditent la
sentence de Napoléon, tant qu'il est encore temps de jouer la carte de la jobardise: «un général sous le pouvoir de l'OTAN n'a plus d'ordres à donner; celui qui lui obéit est un
criminel» (relevé, presque au mot près, dans "Les
officiers", p.81)...
Dégradation publique, renvoi de l'armée,
privation des droits civiques et... remboursement des émoluments, avec intérêts.
3.2. Un officier sans Histoire ne fait pas d'histoires
«Un homme averti en vaut deux»; puisque l'Histoire dont «les morts gouvernent les vivants»* avertit le soldat, d'aucuns veulent
supprimer l'enseignement de cette discipline [32]. Mais «il ne faut pas oublier!» - ne pas oublier la shoah(Sarkozy, le 6/5/2007). L'Histoire est donc remplacée par la
Shistoire, dont la lecture critique est sacrilège. *
Auguste Comte
Alain Soral à Bordeaux, le 27/5/2011:
«vous êtes toujours sous la menace de vous
faire traiter de fasciste, quand vous essayez
de faire un travail critique cohérent»
La sentence d'Auguste Comte survit à ce remplacement mais les morts ont changé. Les nôtres ont cédé la place aux Victimes
des victimes [33], dont la mort est une seconde vie - la nôtre - sublimée par BHLà la conférence de Genève du 20/4/2009: «il appartient aux vivants d'être les
tombeaux vivants de ces morts».
Le révérend rav errant saute du Talmud au
vaudou et harangue la shoah-génération
La
France des 3000 moulins devient la France des zombies,
dans un pli du cerveau de BHL - "BHL et la gauche zombie" (Le Grand Soir du 14/11/2007)
Je résume à double entrée, pour le patriote: «rouler dans la farine à tombeau ouvert», soit, dans la tradition du persiflage gaulois -
mon devoir de mémoire - la traduction de la sagesse populiste: «semer le vent, pour que d'autres récoltent la tempête»...Du dîner annuel du CRIF jusqu'à l'Elysée - et non le chemin inverse -c'est ainsi que la shoah gouverne la France,dans la «prosternation
générale du personnel médiatique et des instances républicaines» (Soral, "Pour comprendre l'empire", p.195).
La shoattitude prosternée...
...du Président de tous les Français
3.3. Digression sur la Shistoire, genèse et apocalypse de la religion d'expiation
«Banquiers et banquistes* marchent ensemble» (Edouard Drumont) mais le banquier ne se déplace plus,
de nos jours; le banquiste (le politicien) vient à lui - au Dîner. Ainsi célébrée dans ce rituel annuel, la Shistoire officielle, de concert avec la
Banque[34],fige le temps en nous faisant hériter de la culpabilité du Crime des crimes: la shoah [35],presque renouveléeentre la poire et le fromage,comme l'Eucharistie à la Messe.Peter Hans Kolvenbach, quand il était supérieur
général des Jésuites: «ce que l'Europe a toléré et organisé à Auschwitz reste une plaie douloureuse pour la Synagogue» (Pays-Bas, 1997).Autrement dit, nous sommes tous
coupables de la shoah, religion d'expiation éternelle du goyinnocent, qui remplace la religion du pardon et de la rédemption - celle des Catholiques condamnés par la Shistoire à une téchouva
impossible, parce que Pie XII sauva seulement 800.000 Juifs [36]...
*«Le banquiste va de ville en ville, pour
vivre aux dépens d'un public qu'il gruge»(wiktionary.org)
Jean-Marie Le Pen: «les organisations juives ont
besoin d'un plastron antisémite, pour exister
(...) Quand il n'existe pas, elles l'inventent»
«La shoah n'est pas notre responsabilité (...) Je
n'accepte pas qu'on la fasse porter aux Francais»
("La traversée du miroir", France-5, 15/5/2011)
La shoah, «nouvelle religion impériale» (i) et oppidum du Peuple élu
(ii), est à la fois le moteur de la Shistoire et le centre de gravité du présent: prétexte de la politique sécuritaire [1] et des guerres coloniales en cours et à venir; en un
mot, du combat contre l'antisémitisme, qui est l'«ite, missa est» du Dîner (Le Pen ci-dessus).
(i) Soral, "Pour comprendre l'empire",
p.204
(ii) Karl Marx: «la religion est l'opium du peuple»
«la violence à l’égard des Juifs n’est pas la violence
commune. C’est une violence qui porte en elle (...)
un projet d’anéantissement» - Rama Yade à Marcel
Amsellem, dîner du CRIF, Rhône-Alpes, 21/2/2011
Le mérite de la shoattitude est récompensé: l'automate
de Sciences-Po' épouse Joseph Zimet (ci-dessus)
Qui doute de la Shistoire officielle, par exemple du complot islamiste du 11/9/2001 - le seul complot
qui soit «politiquement correct» [1] - est donc antisémite!
...débouche sur le négationnisme»; c'est digne du Figaro
3.4. De la transfiguration du Crime des crimes, au crime organisé par la Banque
De même, la critique de la Banque: «les partis de la droite hongroise (…) professent que la
responsabilité du déclin hongrois, c’est l’autre, le juif, le Tsigane, voire le capital étranger» (Le Figaro du 28/12/2009). Les deux butoirs de la Shistoire se retrouvent ainsi
dans le même anathème. De l'école et la télé', à Libé' (guerrier libéré) ou au Figaro
(guerrier tradi'), les mâles guerriers féminisés en esprit(2ème partie) sont soumis
par ce terrorisme intellectuel et séduits par la Shistoire qui transfigure la trahison des uns (→ patriotisme) et la veulerie des autres (→ fidélité).
Quelque part, entre le schizophrène (1ère partie) et le
larbin de l'Empire, qui porte beau: le général
Georgelin...
...grand chancelier de la Légion d'Honneur
En invoquant Auschwitz (i) ou le «droit d'ingérence» (ii), on peut
leur faire faire n'importe quoi [27] et trahir ma patrie [14], pour que «plus jamais çâââ» [37] ou pour la «démocratie», c'est à dire pour
l'ouverture au Marché - à la Banque et au FMI; dans les deux cas, à la Finance privée[38]...
En France, c'est le héraut de la shoah, le philodoxe Bernard Henri Lévy, promu arbitre des élégances et huissier de la Shistoire par les grands media de la crétinformation, qui déclare les
guerres de l'Empire - les massacres
humanitaires [26]. En bout de coursive, l'amiral Guillaud prend ses ordres, d'une baudruche qui répondait hier à l'appel de sa nature en conchiant la France; ce «Grand officier de l'ordre national de la Légion d'Honneur» déshonore la France [39]...
culture & traditions françaises = fascisme, donc shoah
Dans la Shistoire calée entre mammon et la shoah [40], le «champ d'honneur» qu'on ne foulera plus des pieds [22] n'est plus qu'une incantation du Commandement. Sagesse populiste encore: le soldat ne peut pas avoir à la fois
le beurre (la gloire) et l'argent de la Banque...Le «champ d'honneur»reste pourtant la pensée magique des subalternes; féminisation toujours,
puisque «l'attente confiante du miracle de l'enfantement l'entraîne (la femme) vers la pensée magique» (Soral, p.60)... Mais le petit co' devenu grand sera-t-il jamais déçu, si le Triomphe (2ème partie) est devenue sa
réalité? (Guy Debord, "La société du
spectacle", §5)
«Honneur et Patrie»: le revers de la médaille que
Sarkozy décerna à l'ancien collabo' Edouard Leclerc
La collaboration avec l'ennemi [14] est récompensée
par l'institution présidée par Georgelin. Feu mon père
ne portait plus l'agrafe de sa Légion d'Honneur au col de
sa veste car le port de cet insigne est devenu dégradant
[29] Jean-Claude Michéa définit la «décence commune» ainsi: «il s'agit, avant tout, d'un
sentiment intuitif des choses qui ne doivent pas se faire, non seulement si l'on veut rester digne de sa propre humanité quand les circonstances l'exigent, mais, plus simplement, et peut-être
surtout, si l'on cherche à maintenir les conditions d'une existence quotidienne véritablement commune» ("L'impasse Adam Smith", p.94). Qu'advient-il de la
«décence commune», chez le soldat auquel on ordonne d'accomplir une mission qui n'est pas «digne de son humanité»?
Le philosophe Jean-Claude Michéa: «comment se fait-il que le
monde du progrès matériel et technologique soit un un monde
où se multiplient les évènements moralement inacceptables?»
Le contribuable patriote a le devoir moral et
le droit fiscal d'exiger du soldat que celui-ci
réponde de sa participation à ces évènements
Demandons-nous d'abord ce qu'il reste de décence commune dans la classe moyenne - celle des cadres de l'armée. La raison sociale de
cette classe est la préservation de l'aisance singulière. Elle est incompatible avec l'esprit de sacrifice, qui est une raison d'être du soldat. De la dite décence, il
ne reste rien qui sorte de la «bonne famille» (2ème partie) ou du régiment (la
«grande famille»), quand l'officier qu'on envoie seconder les malfrats de l'UCK ou casser du bougnoule pour la Banque ou pour l'Empire, préfère le déshonneur décoré par
Georgelin, à la sortie honorable... Un tel individu, qui a grandi au «libre marché» (la juxtaposition fonctionnelle des égoïsmes individuels) est-il prêt à donner sa
vie, pour le peuple auquel il n'est pas plus lié qu'à son voisin de palier? Certes, il sait baliser* la peau de chagrin d'un fond de vallée mal fréquenté, dans les règles de l'art. Mais le 1er
RCP [3] aurait pris une raclée, si le foutriquet-en-chef des armées l'avait envoyé taquiner le spetsnaz dans la vallée du Panshirtrente ans plustôt- un combat inégal à armes égales...
* L'expression «il balise» désigna d'abord le cadre qui balisait le terrain en Indochine, pour des para' appelés trop tôtà la rescousse
A l'entraînement, un spetsnazresteaccroché...
...au manche de la hache qu'il a lancée
L'historien Marc Bloch, combattant des deux guerres mondiales: «il y a des militaires de profession qui ne seront jamais des guerriers;
des civils, au contraire, qui, par nature, sont des guerriers» ("L’étrange défaite", p.6). La soumission ontologique
au marché (2ème partie)
fait-elle la différence?
[30] Joëlle Pénochet: «entre 50.000 et 80.000 Libyens - la plupart des civils désarmés, et aussi les militaires loyalistes et les simples citoyens patriotes
qui défendaient leur pays contre l'agression étrangère - ont été massacrés par les bombardements de l'OTAN, les mercenaires islamistes, des forces étrangères et autres voyous à sa solde» [13]
("La Libye: un pays condamné à la recolonisation", 23/11/2011).La guerre de l'OTAN contre la Libye fut aussi une guerre de désinformation. La réalité dépassa la fiction*, quand on cacha cette
guerre derrière les partisans incapablesduCNT.
Lorsque les démentis officiels ne couvrirent plus les rumeurs de bombardements de civils commis délibérément par
l'OTAN, on montra au public,les17/4/2011et 12/12/2011, le documentaire"Femmes pilotes de chasse", qu'on avait déjà vu les 24 et 26/6/2009 -matraquage médiatique sur
contreverse. On se souvient aussi de "En vol avec l'armée de l'air" (France-2, 23/3/2010) qui mit en scèneMichel Druckeret Michel Sardou ("Les ricains")... On présenta ainsi l'armée de l'air pour
elle-même- séduction du public (2ème partie) -sans égard pour l'usage qu'on en faisait au même moment: terroriserla population libyenne.
«Virginie aime beaucoup raconter des histoires
à son petit garcon». Alors regarde Timothée
dans les yeux, Virginie,et dis lui que...
tes bombes éclaboussèrent les murs de maisons
libyennes, avec le sang d'enfants de son âge
La femme «fait vendre», dit-on en agence de pub' - vendre le crime de guerre, en l'occurence. Aussi, je propose que Virginie se
déshabille pour la télévision, la prochaine fois.
[31] D'après le gouvernement libyen, «dix-sept mercenaires,
français pour la plupart, ont été capturés par l'armée nationale» (19/9/2011). Le Quai d'Orsay a démenti que des soldats français fussent allés là où la résolution 1973 de l'ONU ne les avaient pas mandés. MaisL'Afro du 7/9/2011:«l'ancien membre du congrès US
Walter Fauntroy, qui est rentré d'une mission en Libye, a dit qu'il s'était caché pendant un mois, après avoir assisté à d'horribles incidents pendant la guerre civile libyenne - une guerre dont
il dit qu'elle est elle entretenue par des forces européennes (...)il a vu des soldats français et danois attaquer de nuit un village et décapiter, estropier et tuer des rebelles et des
loyalistes».
«Prenez ça, toubib: les Danois nous
attendent au village, ce soir...
...j'ai mis un p'tit drapeau
français dans
sa poche, pour la manif' de vendredi»
Les media de la crétinformation* firent diversion, en
exagérant grossièrement le role des mercenaires sahéliens dans l'armée régulière libyenne. Alain Rodier, le 21/3/2011: «ces étrangers,
dont les plus anciens ont été naturalisés, ne constituent qu'une partie infime des forces de sécurité libyennes»(Note 243 du CFRR, "Libye: à
propos des mercenaires")...
[32]Jacques Sapir dans Marianne-2, le 23/11/2009: «obsession de longue date de l'UMP, la disparition des humanités
dans les classes est à l'ordre du jour (...) au moment même où, de la commémoration de l’anniversaire de la mort de Guy Môquet au grand débat sur «l’identité nationale», en passant par le projet
d’un musée de l’Histoire de France, la question de l’Histoire (...) occupe une place centrale».
George Orwell, dans "1984":
«qui contrôle le passé, contrôle le futur;
qui contrôle le présent, contrôle le passé»
Naomi Klein, auteur de "La stratégie du choc", explique au citoyen qui
sait la «guerre globale terroriste que le Système a déclarée aux peuples» [1] que la survie d'une communauté ainsi agressée dépend de la connaissance que cette communauté a de son
histoire:
Le corrolaire de cette relation est l'intention perversede Sarkozy et de sa clique: oblitérer notre Histoire.
[33] Ce n'est pas un jeu de mot;
c'est un rappel shistorique. Antony Sutton, historien et professeur d'économie, raconta, archives à l'appui, comment
l'élite juive sacrifia sa communauté pour accomplir son dessein mondialiste, en donnant au NSDAP les moyens financiers de ses ambitions politiques, puis en poussant Hitler à la guerre [19] qui faisait partie de l'idéologie nazie - la guerre
pour la guerre.
pour la guerre, pour Wall Street et la City... ou parce «qu'il se considère comme un serviteur
de la sécurité et de la liberté des peuples»...?
(Paul VI, "Gaudium et spes", 7/12/1965, §79.5)
[34]Selon Francis Fukuyama,la fin de la guerre froide sonna la «fin de l'Histoire» - la victoire, sur les idéologies, du libéralisme (de la Banque), assimilé à la
démocratie.
9/11/1989: on casse le «mur de fer» avec ceux
d'en-face
[35]Avant d'abandonner l'antiracisme par racisme sioniste*, Alain Finkielkraut, promu philosophe par
préséance élective, illustra ce détournement de l'Histoire, de façon simpliste, outrancière et régressive: «ce pays (la France) mérite notre haine. Ce qu'il a fait à mes parents était beaucoup
plus violent que ce qu'il a fait aux Africains» (le Haaretz du
19/11/2005). * Soral, "Comprendre l'empire", p.190
De l'anti-France, à la régression raciste...
...Finkielkraut jacule à reculon
une pensée constipée
On pourrait renvoyer ce philosophe factice se rhabiller, en lui rappelant, avec Simone de Beauvoir, que «la collusion avec les Allemands des notables juifs constituant le Judenrat est un fait connu» (préface de "Treblinka" de Jean-François Steiner, et le
sujet du livre de Maurice Rajsfus: "Des Juifs dans la collaboration").
Mais alors, comment faire accepter au public le blocus de Gaza par la frégate française Germinal, pour que «plus jamais çâââ!»
Le pacha du Germinal a demandé un appui médiatique: à la barre du Jaccuse, le capitaine Zola surveille les
terroristes sataniques [19] de la bande antisémite de Gaza
[36] Le rabbin et professeur d'Histoire David Dalin: «la campagne menée contre Pie XII aurait choqué les
chefs juifs de la génération précédente. Pendant et après la guerre, de nombreux Juifs connus - Albert Einstein, Golda Meir, Moshe Sharett, Rabbi Isaac Herzog et beaucoup d'autres - exprimèrent
leur reconnaissance envers Pie XII. Pinchas Lapide, ancien consul d'Israël à Milan, qui interrogea des survivants italiens de l'holocauste, déclara que Pie XII aida à sauver au moins 700.000
Juifs, probablement 860.000» - The Weekly Standard, 26/2/2001
[37] Pour que «plus jamais çâââ», Israël a menacé de faire
ça encore une fois (eh oui), par la bouche du stratège Martin van Creveld: «nous possédons des centaines de têtes nucléaires et de
fusées (...) La plupart des capitales européennes sont des cibles pour notre armée de l’air» (le Guardian du 21/9/2003).
L'ami Crefeld, en substance:
«si vous ne détruisez pas la bombe que l'Iran n'a pas,
celle que vous ne voulez pas voir vous détruira...
...mais nous pouvons nous entendre; Israël veut la paix»
Du Figaro, à libertepolitique.com (i), les larbins de l'Empire n'en dirent rien au public français. On
reçut le message en haut lieu mais pas un claquement de porte ne couvrit la voix de Soral, à l'état-major des armées (ii): «ne restent en place que les soumis, les collabo' et les cons, pour un
niveau intellectuel et critique terriblement bas» [1]. Monteil: «les généraux démissionnent malaisément, parce que la retraite change les habitudes du militaire, plus que la guerre celles du
civil» ("Les officiers", p.70)...
(i) le site sarkozyste de rabattage des Catho' de droite
(ii) "Comprendre l'empire", p.165-166, à
propos du «monde du spectacle» (Triomphe & moulinets, 2ème partie)
[38] Ahmed Halfaouai: «le FMI veillera à financer un pays qui prêtait aux autres» (Les Débats, 20/9/2011). Il faudra bien financer ce pays, puisque les «valeurs» que font passer les camarades du colonel qui
«montre l'exemple» (1ère
partie) sont les devises du Fond souverain libyen qui change de main.
En pleine crise grecque, le Fond
souverain libyen tombe à pic...
Le soldat du roi Fric et la fille du banquier d'Athènes
célébrent la victoire de l'OTAN et de la Banque
Parmi les membres du CNT, la BBC a remarqué Ali Issawi, qui défendit une thèse de doctorat dont le sujet était "La privatisation" - l'abus de bien sociaux, commis par un
gouvernement privatisé... Au FMI, où Christine Lagarde se frotte les mains, on fonde de grands
espoirs sur Ali, qu'on donne pour corrompu à l'ambassade de France.
Au centre, l'alpha et l'omega de l'agression de la Libye:
Les Grecs vont se frotter les yeux en croyant rêver, quand le FMI - la Banque en guerre contre les peuples [1] - fera, du plus riche
pays d'Afrique, le pays le plus endetté du monde; un pays producteur de pétrole mais où l'essence sera rationné, comme en Irak.
La raison antisociale de la Banque est la dette;
celle de l'OTAN est de contraindre à l'emprunt [8]
Après avoir fait le plein de bombes à leurs
propres
frais différés - 1er prêt obligé - les Libyens vont
emprunter au FMI, pour faire le plein d'essence
[39] Le chef de la diplomatie n'est pas en reste: quand un sayan courut donner ses ordres à l'Elysée, Alain Juppé montra qu'il savait faire la course en sac, sans le sac et
le pantalon sur les chevilles. C'est bon à savoir, le jour où le juge d'instruction s'intéresse aux finances du parti...
«Alain Juppé n'était même pas au courant»
Il y a des tronches qui disent:
«prends moi; je prendrai sur moi»
Mais l'arbitre des élégances ne perdait rien pour attendre... Plus courageux que certains généraux qui sont empressés comme des
porte-bite, les gardes du corps de Cameron et Sarkozy montrèrent leur dégoût à leur manière:
Jean-Pierre Chevènement, dans son Carnet du
9/10/2007: «Bernard-Henri Lévy est à lui seul une métaphore de l'idéologie dominante, celle des classes dominantes, selon Marx, bref celle du capital financier globalisé: le petit télégraphiste
del'Empire»
Pour les «amateurs de complots»: la nouvelle directrice d’Amnesty International-USA est une assistante d’Hillary Clinton (voltairenet.org, 23/11/2011)...
Je vois ce que vous voulez dire; vous débattez d'idées qui vous dépassent, comme je flatule... Autrement dit, votre vie intellectuelle est à la hauteur de celle de mes intestins; je plains vos parents !
L'idiot, le menteur, l'aigrefin, l'individu chez lequel l'émotion domine la raison, regardent le doigt quand celui montre la lune; votre remarque est de cet ordre...<br />
<br />
Plus intéressante, en ce qui me concerne, est la réponse à la question suivante: «où sont les Juifs?» que vous nommez avec bien de vulgarité (en êtes-vous un?) ou plutôt: «y a-t-il un pouvoir en France où la Communauté organisée ne soit pas, et omnipotente, et surreprésentée en rapport avec sa taille démographique relative?»<br />
<br />
On pourra ensuite se demander quelle marge de manoeuvre cela laisse aux larbins que nous élisons pour prendre leurs ordres au grand Dîner du CRIF... On fait comme ça, grand?